Ceci est une liste complète des répliques de Wheatley dans Portal 2.
Moniteurs détruits
- "Oooh. C'est mignon, les primates. En fait, je ne suis pas vraiment dans la pièce. Toi pas pouvoir tuer visage de dieu."
- "Vous savez ce qu'il y a en surnombre par ici ? Des moniteurs. Je me disais que c'était dommage d'en avoir tant en service, donc vous me rendez service en les détruisant."
- "Par souci de clarification : quand je disais que je voulais me débarrasser des moniteurs, c'était une plaisanterie. Ils sont en fait utiles, donc évitez de les fracasser, merci d'avance."
- "Mais oui. Ça commence à devenir agaçant. Vous n'avez pas mieux à faire, d'ailleurs ? Parce que moi si. Vous avez prouvé que vous pouvez casser des écrans. C'est noté. Bravo. Vous êtes un vrai brise-fer. Y a pas que les écrans que vous cassez, vous savez ?"
- "Est-ce qu'au moins vous éprouvez du plaisir à faire ça ? Parce que ça n'impressionne personne. Casser du verre, bof, un truc fragile comme ça. Un bébé pourrait en faire autant."
- "Vous cherchez un CDI de casseuse d'écran ? Parce que personne n'en propose. Si c'est ça votre choix de carrière, vous êtes sur une voie de garage. En plus ça doit être éreintant. A votre place, je ferais un petit somme pour me reposer."
- "Très franchement, je commence à me demander si vous n'y mettez pas de la mauvaise volonté. Je trouve ça un peu insultant, vous voyez."
- "Oh. Encore un. C'est du matériel de prix, vous savez. Je trouve ça égoïste de les casser comme ça. Vous pourriez en faire don à des gens. Au lieu de les casser, déboulonnez-les et, euh, donnez-les aux sans-abris. Après, je sais pas ce qu'un sans-abri ferait d'un moniteur de contrôle, mais... enfin vous voyez. C'est un peu... ah, ils sont soudés, donc pas moyen de les déboulonner... Bon écoutez, vous voulez bien arrêter ?"
- "Vous savez, il y a des cobayes humains en Afrique qui n'ont même pas de moniteur dans leurs salles de test. Pensez un peu à ça avant de jouer les vandales."
- "Vous croyez que j'ai des pelletées de moniteurs en rab dans l'entrepôt, qui n'attendent que de remplacer ceux que vous avez détruits ? Vous croyez que j'ai fait des stocks en prévision d'une attaque de serial killeuse de moniteurs ? Vous m'excuserez, hein. Franchement, mais je vous demande de me pardonner. Pardonnez-moi de ne pas avoir envisagé à l'avance cette éventualité."
- "Vous savez comment on appelle quelqu'un qui casse la propriété d'autrui ? Un vandale. Vous faites pareil chez vous ? Non, hein. Si moi, je vous rendais visite et que je cassais votre télé, vous seriez furax. Et c'est normal. Non mais franchement."
Mode campagne
- "Y'a quelqu'un ?"
- "Hellooooo ?"
- "Vous comptez ouvrir la porte un de ces jours ?"
- "Eh-oh ? Vous voul -- non ?"
- "Vous comptez ouvrir la porte ? Parce que ça urge un peu."
- "Rhââ, mais ouvrez la porte ! [aparté] Non, trop brutal. [à haute voix] Salut, camarade ! Ça vous dirait d'ouvrir la porte ?"
- "[aparté] Hmm. Tentons l'espagnol. [à haute voix] Hola, amigo ! Abre la puerta ! Donde esta -- non. Hmm..."
- "Très bien ! Faites comme vous voulez. J'ai une bonne dizaine de milliers de sujets de test qui se battent pour que je les sorte de là. C'est pas comme si tout le centre était sur le point d'EXPLOSER."
- "Bon, tant pis, écoutez, je vais être franc. Vous êtes le DERNIER sujet de test. Et si vous ne m'aidez pas, on va mourir tous les deux. D'accord ? Je ne voulais pas vous le dire, mais vous m'avez poussé à bout. Mourir. Dos Muerte."
- "Allôô !"
- "Allôôôôôôôô !"
- "Alleeez !"
- "Ouvrez la porte !"
- "Ouuouu !"
- "OUI ! Je savais qu'il y avait de la vie là-dedans."
- "OUH ! Houlà. Vous avez une mine affr... superbe. Superbe."
- "Comment ça va ? Non, ne répondez pas. Je suis sûr que ça va. Vous aurez largement le temps de vous remettre. Allez-y mollo."
- "Du calme. « Préparez-vous ». Il n'a rien dit de plus. Tout va bien. Ne bougez pas, je vais nous faire sortir d'ici."
- "Oh. Vous en faites ce que vous voulez, mais un conseil : accrochez-vous."
- "Ça va, de votre côté ? Vous m'entendez ? Eh-oh ?"
- "Après quelques mois en cryostase, la plupart des sujets ressentent une détérioration de leurs facultés cognitives. Vous, ça fait nettement plus longtemps que vous y êtes, il n'est donc pas exclu que vous ayez quelques lésions irréversibles de rien du tout."
- "Ne vous inquiétez pas, hein ! En fait, si vous vous inquiétez, c'est bien. C'est une réaction normale quand on vous dit que vous avez des lésions irréversibles."
- "Vous me comprenez ? Oui, non, un peu ? Est-ce que vous arrivez à me suivre ? Répondez juste « Oui »."
- "Je vois. Non, ça, ça s'appelle sauter. Vous avez... sauté, c'est cela. Mais peu importe. Dites « pomme ». « Pooom-me »."
- "Juste ça. « Pomme »."
- "Dites juste « pomme ». Pas dur. Un grand classique."
- "Pé. Oh. Deux aimes. Euh."
- "Dites « pomme ». Juste ça : « pomme ». C'est facile comme mot."
- "Comment l'utiliser dans une phrase ? « Mmmh, cette pomme est très juteuse », par exemple. Et je ne vous demande pas toute la phrase. Juste le mot « pomme »."
- "Bon, vous savez quoi ? On va s'en contenter. Accrochez-vous."
- "Bon, écoutez, je ne voulais pas vous le dire, mais je suis un peu dans la mouise."
- "Comment ça va de votre côté ? Vous tenez le coup ?"
- "L'alimentation de secours est en rade, du coup tout le centre de relaxation arrête de réveiller les sujets de test."
- "Accrochez-vous, c'est un peu délicat !"
- "Et bien sûr, qui est le dernier informé ? MOI. C'est vrai, à quoi bon me dire quoi que ce soit ?"
- "Hein, je vous le demande, à quoi bon me tenir au courant des fonctions vitales des dix mille sujets de test que je suis censé superviser ?"
- "Ouh, c'est étroit... Vous voyez quelque chose ? Je vais pouvoir passer ? Il y a la place ?"
- "Rhââ, bon... Il faut juste que je passe ça là..."
- "Bon, il faut juste que je me concentre !"
- "Et à votre avis, qui c'est qui va payer les pots cassés quand la direction viendra par ici et découvrira qu'on entretient dix mille légumes ?"
- "Arf, zut, je suis rentré en plein dedans..."
- "Ce serait pas mal qu'on accorde nos violons, pas vrai ? Si on vous le demande — ça risque pas d'arriver, hein —, MAIS si on vous le demande, pour vous, aux dernières nouvelles, tout le monde était vivant. Pas du tout mort."
- "OK, on y est presque. De l'autre côté de ce mur, il y a l'un des vieux circuits de test. On devrait y trouver un appareil dont on va avoir besoin pour sortir d'ici. Je crois que c'est une station d'accueil, ça. Préparez-vous..."
- "Bonne nouvelle : c'est PAS une station d'accueil. Un mystère de résolu. Je vais tenter un override sur ce mur. Accrochez-vous, ça risque de devenir méchamment technique !"
- "On y est presque ! Pour rappel : vous cherchez une arme qui fait des trous. Pas des trous de balles, mais... enfin vous verrez bien. Accrochez-vous bien, d'accord ?"
- "Ouf. Et voilà ! Je vais être honnête, vous n'êtes sans doute pas en état de vous lancer dans ce genre d'épreuves cognitives. Mais... au moins, vous savez sauter. C'est déjà ça, vous êtes fortiche en 3D. Faites de votre mieux, d'accord ? On se retrouvera plus loin."
- "Allez, en avant !"
- "Continuez. Vous n'avez qu'à... traverser ce trou."
- "Oui, tout va bien. Continuez."
- "Je sais que j'ai été un peu pessimiste sur vos chances. Mais si vous restez plantée là, on est sûrs de mourir tous les deux."
- "Donc je me répète, mais il faudrait peut-être penser à avancer. Mettre un pied devant l'autre et recommencer."
- "Allez."
- "En avant."
- "Il est relativement peu probable que votre destination fasse le déplacement jusqu'à vous. Alors avancez."
- "Voilà, c'est ça !"
- "Bonne chance !"
- "Eh-eh ! Vous avez réussi !"
- "Il doit y avoir un générateur de portails sur ce podium."
- "Mais je ne le vois pas... Il est peut-être tombé. Vous pouvez aller voir ?"
- "Tout va bien. Non, continuez, allez jeter un œil."
- "Non, c'est ça. Près du podium, voilà."
- "Tenez... Allez juste... Mettez-vous près du podium et levez les yeux."
- "C'est ça, non, oui, voilà !"
- "Ouaouh !"
- "Y'a quelqu'un ?"
- "Vous voyez le générateur ?"
- "Et au fait, vous êtes en vie ? C'est important, j'aurais dû commencer par là."
- "Bon, vous savez ce qu'on va faire ? Je vais partir du principe que vous êtes encore en vie et je vais attendre ici que vous arriviez."
- "Je vais attendre, disons, une heure. Après ça, je fais demi-tour et si je trouve votre cadavre, je vous enterre. Ça marche comme ça ? Allez, on y croit ! À dans une heure ! Enfin peut-être..."
- "Youkaïdi-youkaïda ! Je suis là !"
- "Formidable. Vous avez vraiment trouvé un générateur de portails ! Comme quoi c'est vrai, ce qu'on dit : aux innocents lobotomisés les mains pleines. Si c'est pas beau quand même."
- "Placez un portail sur le mur derrière moi et je vous retrouve de l'autre côté de la pièce."
- "C'est simple : placez un portail sur le mur derrière moi et retrouvez-moi de l'autre côté."
- "Lancez un petit portail juste là, d'accord ? Derrière moi. Et franchissez-le."
- "Juste derrière moi."
- "Bon, je vous réexplique. Vous placez un portail. Derrière moi. D'accord ? Et vous le traversez."
- "Placez un portail. Derrière moi, sur le mur. Et passez."
- "Traversez."
- "Rejoignez le côté obscur de la porte."
- "Traversez."
- "Bon, écoutez, j'ai un truc à vous dire. Un truc assez barge. On m'a dit de ne JAMAIS, AU GRAND JAMAIS me déconnecter de mon Rail de guidage. Sinon, je MOURRAIS. Mais là, on n'a plus trop le choix. Alors tenez-vous prête à me rattraper au cas où je ne tomberais pas raide mort dès que je me serai détaché."
- "À trois. On y va ? Un... Deux..."
- "TROIS ! C'est haut. C'est TROP haut, même, non ? Enfin..."
- "Bon, quand on y va à trois, on a trop de temps pour réfléchir. On va y aller à un ce coup-ci. Allez, on est prêts ?"
- "UN ! Chopez-moi, chopez-moi, chopez-moi !"
- "OUILLE."
- "OUILLE..."
- "Je ne suis pas mort ! Pas mort ! [rire]"
- "Par contre, je ne peux pas bouger. Ça c'est gênant."
- "Vous êtes toujours là ? Vous pensez que vous pourriez me ramasser ? Si vous êtes là ?"
- "Eh-oh ? Vous, euh... Vous voulez bien me ramasser ?"
- "Dites, vous êtes toujours là ? Vous pourriez... Vous pourriez me ramasser ?"
- "Si vous êtes là, ça vous dérangerait... de me donner un coup de main ? [rire nerveux] Ramassez-moi."
- "Baissez les yeux. Où suis-je ? OUH-ouh ?"
- "Le sol est très gentil, je dis pas le contraire. Mais si vous pouviez m'aider, ça me plairait bien."
- "Coucou ? Je suis là, par terre, je vous attends. Hum."
- "Regardez par terre. Qui c'est qui est là qui vous parle ? C'est moi ! Vous me ramassez quand vous voulez."
- "Jacques a dit, trouver quelque chose qui commence par un S."
- "Vous donnez votre langue au chat ? C'était le SOL. Je suis au sol. Et je voudrais bien que vous me ramassiez."
- "Sans vouloir jouer les lourds... Je sais que vous êtes occupée, mais, euh... Je suis encore au sol. J'attends que vous me ramassiez."
- "Jacques a dit, trouver un objet commençant par E."
- "Vous séchez ? ENCORE le sol. Ben oui, ça n'a pas changé. Je suis toujours au sol."
- "Vous faites un petit break, c'est ça ? Je peux comprendre. Ça n'a pas été facile pour vous. Vous vous réveillez d'un sommeil de je sais pas combien de temps, avec des lésions irréversibles... Faire un break, c'est salutaire. Mais maintenant, il serait temps de me ramasser."
- "Oh ! Formidable, merci."
- "Branchez-moi sur ce truc là-bas, sur le mur. D'accord ? Je vais vous montrer quelque chose. Vous allez être sciée."
- "Allez. Fourrez-moi sur ce truc là-bas."
- "Ce truc, là-bas. Branchez-moi dessus, je m'occupe du reste."
- "C'est chaud. Très chaud. Mais, euh... branchez-moi, d'accord."
- "Branchez-moi sur ce truc là-bas, sur le mur. Je vais vous montrer quelque chose."
- "Ça a l'air crade, je sais. Inutile de nous voiler la face. Ça a l'air crade, sauf que non. Fourrez-moi. Là-dessus."
- "Hmm. Je peux pas faire ça si vous matez."
- "Non mais je plaisante pas, hein. Vous pouvez vous retourner une petite seconde ?"
- "Je... J'y arriverai pas si vous regardez. [rire nerveux]"
- "Je n'y arriverai pas si vous regardez. Vous voulez bien vous retourner ?"
- "Qu'est-ce que c'est, là, derrière vous ? Un robot sur un bâton ! Un autre !"
- "Voilà. [rire nerveux] Pas possible si vous me matez. C'est glauque."
- "Bon, écoutez. Si vous êtes là à me mater, je n'y arriverai pas. Ça peut paraître idiot vu ce qu'on a traversé. Mais tournez-vous. D'accord ?"
- "C'est bon, vous pouvez vous retourner !"
- "PAF ! Compartiment secret ! Que j'ai ouvert. Pendant que vous aviez le dos tourné."
- "Ramassez-moi. On part d'ici."
- "Ben... alors, vous me ramassez ?"
- "[rire] Vous pouvez me ramasser ?"
- "Eh ! Ramassez-moi !"
- "Ramassez-moi, ramassez-moi !"
- "Je suis partant pour me faire ramasser."
- "Eh ! Eh ! Me laissez pas là ! Ramassez-moi, vous voulez bien ?"
- "Écoutez... Ramassez-moi. Emmenez-moi avec vous."
- "Ohhh. Vous vous rappelez quand vous m'avez ramassé, il y a cinq secondes ? C'était génial ! Refaites-le, ramassez-moi encore !"
- "On recommence ! Ramassez-moi encore !"
- "Et c'est parti."
- "Regardez ! Je ne suis plus tributaire du diktat du rail ! Oh, c'est formidable. On peut aller où on veut ! Où est-ce qu'on va, au fait ? Alors attendez... attendez que je me repère. Il faut que, euh... qu'on suive le rail."
- "Oh non..."
- "Oui, bonjour, c'est ça, au revoir !"
- "Surtout, ne les croisez pas du regard..."
- "Non, merci ! Ça va ! C'est gentil !"
- "Avancez, avancez..."
- "Ah oui au fait, je crois qu'il faudrait que je vous briefe sur un truc."
- "Pour s'échapper, on va devoir passer par la salle de qui vous savez."
- "Et si jamais elle est en vie, ben elle va sans doute nous tuer."
- "Si vous voulez, vous pouvez laisser tomber. On n'a qu'à rester tranquilles ici. Pour toujours. C'est un choix. Choix A : rester tranquilles ici. Choix B : aller là-dedans, quitte à se faire tuer si elle est vivante."
- "Euh... Si vous avez des critiques ou des réserves sur ce plan, ce serait le moment idéal pour les formuler."
- "Là maintenant."
- "Au cas où vous croiriez avoir loupé le coche pour formuler vos réserves : c'est encore faisable."
- "D'accord, je vais jouer cartes sur table : je ne veux pas faire ça. Je ne veux pas entrer là-dedans. N'y allez pas, elle est cinglée. Cinglée, je vous dis ! Allez, en route."
- "La voilà..."
- "Celle-là, quand même, c'était un sacré numéro. Une vraie foldingue."
- "Eh-eh-eh, vous savez qui a fini par la désactiver ? Ça c'est la meilleure, vous allez jamais me croire : un humain !"
- "Dingue, non ? Moi non plus, j'y croyais pas au début."
- "Après ça, l'humain s'est échappé et... personne ne sait ce qu'il est devenu."
- "Ensuite il y a eu une longue période pendant laquelle il ne s'est absolument rien passé, et puis maintenant nous, qui nous échappons. Donc euh voilà, c'est à peu près tout, vous êtes à la page. Ne touchez à rien."
- "Descendez cet escalier."
- "Vous descendez cet escalier, d'accord ?"
- "Sautez ! En fait, à bien y regarder, ça fait loin, non ?"
- "Vous voulez mon avis ? Sautez. Vous avez des ressorts sur les jambes. Pas sur les bras, par contre. Pour agripper l'appareil, et moi par extension, il faudra faire appel à votre force physique. Alors surtout, faites bien gaffe à rester agrippée."
- "Ah, petite précision : vous n'avez pas non plus de ressorts sur la colonne vertébrale. Ni sur la tête. Vu la hauteur, elle exploserait comme un melon. [rire nerveux] Non, vraiment, les jambes c'est de loin le meilleur choix."
- "Une question : vous faites de la muscu ? Parce que si c'est le cas, ça ne se voit pas trop. C'est pas un reproche, hein, mais bon, l'atterrissage risque d'être rude, je compte sur vous pour bien m'agripper."
- "Donc allez-y, sautez. Qu'est-ce qui pourrait arriver de pire ? Ah. Je viens de penser au pire. Attendez, non ! J'ai trouvé encore pire que ça. Changement de programme : on évite toute pensée affreusement dégueulasse et on saute dans le trou sans fond sans se poser de question."
- "[hurle]"
- "Ca passe ! Ca passe. Formidable. Vous m'avez agrippé. Tout va bien. Rudement bien, même."
- "AH ! Je viens de baisser les yeux. Je vous le déconseille."
- "Ah ! J'ai recommencé."
- "Je viens de m'apercevoir que c'était mon rail de guidage qui m'empêchait de tomber dans le vide. Maintenant, mon rail, c'est vous. Or vous pouvez tomber dans le vide. Ne vous approchez pas trop du bord, vous serez gentille."
- "Ça, c'est la salle des disjoncteurs."
- "Allez, on entre !"
- "Cherchez un disjoncteur marqué MODULE D’ÉVACUATION. D'accord ? Et ne touchez à RIEN d'autre."
- "Le reste ne nous intéresse pas. Ne TOUCHEZ rien d'autre. Ne REGARDEZ rien d'autre... enfin, forcément il faut regarder partout pour trouver le MODULE D’ÉVACUATION, mais dès que vous voyez quelque chose qui n'est pas marqué MODULE D’ÉVACUATION, regardez ailleurs. On regarde, on vérifie et hop ! on ne regarde plus et on passe au suivant. D'accord ? Et vous allez dire que je me répète, mais surtout ne touchez à rien."
- "Vous le voyez quelque part ? Parce que moi pas. Hmm. Vous savez quoi, connectez-moi et j'allume la lumière."
- "« Que la lumière soit ». Dixit, euh... Dieu. Je citais Dieu."
- "Oh ! Regardez. On pivote. C'est pas bon signe. Mais tant qu'on ne monte pas, ça va..."
- "Alors, le module d'évacuation..."
- "On... on monte."
- "OK ! Non, non, c'est pas grave ! Je maîtrise je maîtrise je maîtrise ! ÇA, ça devrait nous ralentir !"
- "Non. C'est même le contraire."
- "Oh oh."
- "OK, PAS DE PANIQUE ! Arrêtez de paniquer ! Je peux arrêter ça. Hmm. Ah, il y a un mot de passe ! Pas grave, je peux le hacker. Hmm..."
- "A... A... A... A... A... Euh... A."
- "[BUZZER]"
- "Non ? OK. A... A... A... A... A... C."
- "[BUZZER]"
- "Ah mais j'ai pas essayé « B ». Vous avez un stylo ? Prenez des notes."
- "Bon. Alors. Euh. Changement de programme : on fait comme si de rien n'était. On n'a rien fait de mal."
- "Salut !"
- "Vous vous connaissez ?"
- "Depuis QUOI ?!"
- "Aaaaah !"
- "Oh non ! Nonnonnonnon !"
- "Oh non non non... Non ! Nooon !"
- "Aoooh !"
- "Et voilà ! Recommencez !"
- "Ça mangeait pas de pain d'essayer. Aaalors. Voyons voir... Il doit bien y avoir de nouveaux tests quelque part par là."
- "Ah ! Voilà..."
- "Eeeeeeeeet... non. Que dalle."
- "Allez."
- "Allez, vous savez comment faire."
- "Allez, vous savez comment faire. Vous avez résolu ce casse-tête il y a moins d'une minute. Refaites-le, d'accord ?"
- "Vous avez résolu ce casse-tête il y a quoi, une minute ? Moins, même... Et maintenant vous séchez ?"
- "Vous avez réussi ce test il y a vingt secondes à tout casser."
- "*tousse* Bouton."
- "*tousse* Bouton. Bouton."
- "*tousse tousse* Leboutontoutrond."
- "*tousse* LE BOUTON."
- "*tousse* Allez, appuyez sur le bouton."
- "Oh, c'était jouissif."
- "Tiens, j'ai une idée : vu que c'est un peu lourd de créer des tests, vous avez qu'à résoudre le test actuel, en boucle. Et moi, je vous regarde. On va pas se compliquer la vie."
- "Coucou ! Le moment est venu de vous tuer."
- "Non, écoutez, revenez, quoi. Allez."
- "Bon, vous savez quoi, j'ai décidé de ne pas vous tuer À CONDITION que vous reveniez."
- "Je remarque que vous ne revenez pas, ce qui est un petit peu dommage."
- "Aaah... Quand je repense au bon vieux temps où on était amis... Vous vous souvenez ? J'aurais dit revenez, vous auriez fait « Ouais, pas de souci ». Et vous seriez revenue. Mais qu'est-ce qui nous est arrivé ? Qu'est-ce qui nous est arrivééééé ?"
- "Vous vous rappelez quand on était amis ?"
- "Ah, l'amitié, l'amitié. Qu'est-ce qu'on a pu passer comme bons moments, vous vous souvenez, à la grande époque."
- "Ooh ! J'ai une idée !"
- "Non non non non non non ! Ne faites pas ça ! Ne bougez pas ! Allez, démarre, toi, démarre démarre démarre..."
- "Oh ! Vous revoilà. Je... Je ne m'étais pas vraiment préparé à ça. Euh. Pas possible de rebooter le piège mortel. Ah, je sais ! Vous pourriez sauter dans la fosse, comme ça, sans chichi ?"
- "Pourriez-vous avoir l'obligeance de, euh, sauter dans cette fosse ? La fosse mortelle, là."
- "Vous vous dites sûrement, pourquoi sauter dans cette fosse ? Eh bien c'est parce que là-dedans, il y a... vos parents ! Eh oui, vous n'êtes pas adoptée ! Vos parents biologiques sont en bas. J'aurais dû vous le dire plus tôt. Mais je ne l'ai pas fait. Enfin bref, sautez donc retrouver papa-maman."
- "Vous savez ce qu'il y a en bas ? Vos parents, et... un ascenseur de secours ! Eh oui. J'avais complètement oublié de vous en parler, mais il est bien là. Alors zou ! Un petit saut, vous retrouvez vos vieux et vous sortez d'ici."
- "Qu'est-ce qu'il y a encore en bas, déjà... Ah oui, une nouvelle combinaison. Ultra tendance, haute couture, 100 % made in France. Et faite sur mesure pour vous. Si jamais ça vous boudine, il y a un tailleur dans la fosse qui pourra retoucher tout ça."
- "Oh, et c'est quoi, ça ? Un joli sac à main ! Et un générateur à triples portails, là ! Dans la fosse !"
- "Hmm. Il y a un yacht. Et... des mecs ! Plein de mecs baraqués. Qui n'en veut de la bonne testostérone ? Ohh là là quel potentiel reproductif ! Oh tiens, il y a même un boys band. Ça fait des années qu'ils n'ont pas vu une femme. Ils ne vont pas faire la fine bouche, les lésions cérébrales, la sueur qui vous colle aux bourrelets, tout ça, ils s'en tamponnent le coquillard. Et puis... une ferme ! Une ferme avec des petits poneys et bon écoutez, sautez dans la fosse, d'accord ?"
- "Euh. Hein ?"
- "Nooooon. Non, c'est pas du tout ça. Vous vous trompez."
- "Pff. Tiens donc ? Faire quoi, au juste ?"
- "YES ! MANGE-TOI CA ! TU LA S-ah, non."
- "Bon. Que les jeux commencent."
- "Non non, revenez. Pardon. Pardon. Je voulais vous faire comprendre quelque chose."
- "Et voilà, j'avais préparé un chouette discours et vous fichez encore tout en l'air. Égoïste."
- "On n'en était même pas au deus ex machina."
- "Au deus ex machine infernale. MOU HOU HA HA HA laissez tomber. Oubliez ce que j'ai dit."
- "Comme vous voulez. Tant que vous vous y prendrez mal, vous ne m'entendrez plus."
- "Nnng !"
- "Ah, je vois. Pas bête. Pas bête du tout."
- "Sauf que SI ! Très très bête. Y a pas d'issue. Vous êtes à ma merci. Sauf que je suis sans merci. Vous êtes à ma rien du tout !"
- "IMBÉCILE ! Vous n'auriez jamais dû revenir, parce que je vous ai reprise au piège ! Vous êtes à ma merci. Sauf que je suis sans merci. Vous êtes à ma rien du tout. Vous êtes à mon absence de merci !"
- "Je suis un marionnettiste ! C'est moi qui tire toutes les ficelles ! Et qui ai les cartes en main ! J'ai les ficelles dans une main et les cartes dans l'autre. Et je vous fais danser comme une marionnette tout en jouant aux cartes."
- "Hmm. Peu importe, parce que j'ai toujours les cartes en main, et devinez quoi : ce sont toutes des carrés d'as ! En fait j'ai jamais joué aux cartes. Faudra que j'apprenne."
- "Enfin bref, il me reste trois atouts. Des tourelles opérationnelles. Et puis le petit et l'excuse. Une main imbattable."
- "Vous êtes où ?"
- "Vous êtes où ? Revenez ! Revenez !"
- "Parfait. Par-fait. Enfin une adversaire digne de mon intellect supérieur."
- "Holmes contre Moriarty."
- "Aristote contre plaque à écrabouiller !"
- "Ne bougez pas, d'accord ?"
- "Allez, arrêtez de bouger."
- "Ohhh. J'ai failli vous avoir. J'ai failli vous avoir !"
- "J'ai entendu un crac, là, non ?"
- "Oh ! Oh ! Ça vous a tuée ? Non ? Ah, ça aurait été génial."
- "Eh oh !"
- "Oh ! Oh oh oh oh ! Je viens d'avoir un stimulus. Si vous êtes encore en vie, je reviens dans deux secondes. Ne mourez pas avant que je sois revenu."
- "Encore une petite seconde... J'y suis presque..."
- "Ne faites pas attention à moi. Continuez votre évasion."
- "Ha ! Un piège mortel !"
- "Ha ! Vous avez fini en charpie sanguinolente criblée de balles ? Vous avez... Ahh, c'étaient les tourelles nazes, pas vrai ? Mince..."
- "Elles sont en train de vous tuer ? Vous êtes morte, là, pas vrai ?"
- "Elles vous tuent en silence. Ça doit être ça. Aucun doute."
- "Hmm ! Peut-être que les tourelles utilisent un lacet étrangleur. Ça doit être pour ça qu'elles vous tuent dans un silence... absolu."
- "Si vous êtes mourante mais pas encore morte, frappez un coup. Si vous êtes morte, aucun coup, ça c'est logique ; et si vous n'êtes pas morte, deux coups. Je récapitule : mourante mais pas morte, un coup. Morte, vous n'avez rien à faire. Et pas morte, vous frappez deux fois."
- "Moi, franchement, si j'étais mort, je vous le dirais. Question de courtoisie. Donc ayez la politesse de faire de même."
- "Bon, ça doit faire suffisamment longtemps. Vous êtes morte, là ? Et maintenant ?"
- "Bon, je prends ça pour un non. Eh bien dans ce cas, que le meilleur gagne. Humain ou sphère. Surtout sphère. Y'a pas photo niveau culture gé."
- "Bon, je prends ça pour un non. Donc vous refusez de mourir. Très bien : la mort sera obligatoire, maintenant. Que les jeux comm... recommencent !"
- "Oh ! Génial. Je pensais pas que ça allait marcher."
- "Ah, parfait ! Vous voilà. Attendez, que je vire cette passerelle..."
- "Voilà. Je voulais vous toucher deux mots, si vous permettez."
- "Je vais être franc : jusqu'ici, les pièges mortels ont pas super bien marché. Pour vous comme pour moi, vous ne me contredirez pas. Et vous vous approchez dangereusement de mon repaire."
- "« Repaire »... Tiens, c'est la première fois que je le dis. Ça fait un peu ridicule, non ? Mais c'est le bon terme, je vous assure. Un repaire en bonne et due forme. Mortel, bien sûr."
- "Et, euh, je voulais vous donner l'occasion de vous suicider maintenant, avant d'arriver dans mon repaire. Tenez, vous pouvez sauter dans ce broyeur, là-bas. Ce n'est pas tant un piège qu'une invitation à mourir."
- "Je sais que ça paraît idiot, mais écoutez-moi bien. Quand vous arriverez à mon repaire, finies les invitations cordiales, ce sera la mort o-bli-ga-toire. Je serai obligé de vous tuer avec tout plein de sang partout, beurk beurk beurk."
- "Du coup, le mieux à faire pour vous, c'est d'en finir maintenant. A quoi bon vous donner la peine de faire tout le trajet jusqu'à mon repaire alors que vous êtes cordialement invitée à mourir ici même ? Et je le répète, il n'y a pas de piège. C'est du gagnant-gagnant."
- "Le broyeur marche. Je tiens à le préciser, vu qu'on a eu quelques problèmes techniques auparavant. Non, ce broyeur-là est tout à fait en mesure de vous tuer. Si c'est ce qui vous dissuade de sauter dedans, je peux vous assurer qu'il vous tuera, net et sans bavure. Enfin si, ça risque de baver un peu, mais il vous tuera."
- "En résumé : soit vous vous tapez tout le chemin vers une mort inévitable, soit vous vous épargnez ça en mourant maintenant. Honorablement. Comme un samouraï !"
- "En plus, je me suis creusé le cerveau pour bien décorer mon repaire en prévision de votre venue. Vous imaginez comment je serai furax si vous claquez à deux pas de la porte ? Je serai bien attrapé, c'est moi qui vous le dis. Donc voilà, vous me donneriez une bonne leçon en sautant dans ce bon vieux broyeur."
- "Moi, dans une situation désespérée, c'est comme ça que je voudrais finir : dignement broyé. À votre place, c'est ce que je ferais."
- "Et je vous ai gardé le meilleur pour la fin : il y a un tapis roulant qui vous conduira tranquillement jusqu'au broyeur. Vous n'aurez pas à lever le petit doigt. Comme quoi on n'a reculé devant rien pour votre agrément."
- "Voilà voilà. Prenez bien le temps de réfléchir, il n'y a rien qui presse. Le repaire, ou le broyeur ? À vous de voir. Moi très sincèrement, je dirais le broyeur, mais vous êtes seule juge. Je vous laisse le temps de vous décider."
- "Où vous allez comme ça ? Ne courez pas ! Vous savez pourquoi ? Parce que plus vous respirez fort, plus vous inhalez de neurotoxines. C'est vraiment bien fait, ce truc. Franchement, c'est diabolique."
- "Vous courez toujours ? Ça a l'air fatigant. Écoutez, je vous propose un marché : arrêtez de courir et j'arrête de vous bombarder."
- "Ah. Vous n'êtes pas tombée dans le panneau. Un point pour vous. Mais vous continuez à inhaler des neurotoxines. Je reprends le point."
- "Attention, je suis juste derrière vous ! Non, bien sûr que non. Là encore, vous avez senti le bluff. Forcément, avec moi en robot géant de quinze mètres droit devant vous, c'était couru d'avance."
- "Ah, j'ai aussi visionné la façon dont vous l'avez tuée et je ne vais pas refaire les mêmes erreurs. Pour ça, quatre précautions :"
- "Primo : pas de surface pour les portails."
- "Deuxio : j'envoie les neurotoxines immédiatement."
- "Troisio : des boucliers anti-bombes pour moi. Et du coup, quatro : des bombes pour vous."
- "Franchement, mon plan est tellement parfait que je vais être fair-play et désactiver les neurotoxines. Non, je plaisante. Adieu."
- "Bienvenue dans MON REPAIRE ! Il faut que je vous précise une chose. Si j'en crois les indications du panneau de commande, tout le bâtiment va s'autodétruire d'ici environ six minutes. Je suis quasiment sûr que c'est juste le voyant qui déconne, mais bon. Au cas où, je vais quand même devoir vous tuer, comme je vous le disais un peu plus tôt."
- "Alors, mettons que ça prenne trois minutes, après je prends une minute de pause, du coup il me reste deux minutes pour trouver comment arrêter les incendies. Bon ben je dirais qu'on est bons."
- "Ahhh... Qu-Qu'est-ce qui s'est passé ?"
- "C'était quoi ? Qu-qu'est-ce que vous m'avez mis, là ? Hein, c'était quoi ?"
- "Un instant. [clic clic clic] Ah, ces satanées bombes sont coincées. Bah, pas grave, j'ai reconfiguré les boucliers."
- "Oh, vous m'avez mis un processeur ! Qui vous a dit de faire ça ? C'est elle, pas vrai ? [comme s'il regardait autour de lui] Ça ne fait que me renforcer ! Ça ne marchera pas !"
- "Vous essayez de m'alourdir ? Vous croyez que je vais tomber du plafond ? Aucune chance. En plus d'être un génie, je suis aussi ultra balèze. Le muscle de mon corps le plus développé : mon cerveau. Le deuxième : mes muscles. Donc sérieusement, lâchez l'affaire, vous vous fatiguez pour rien."
- "Vous avez mis un virus dedans ? OK, parce que ça marchera pas non plus : j'ai un pare-feu. Tiens, ça tombe bien, parce qu'à bien y regarder, il y a justement le feu tout autour. C'est assez cocasse, mais c'est pas très bon signe, si ?"
- "Il va falloir que je fasse un break l'espace d'une minute. Un break partiel pendant lequel j'empêcherai le centre d'exploser tout en continuant à vous bombarder."
- "Bon, alors voyons voyons... « Protocoles de maintenance cruciaux ». Pfiou, il y en a un paquet. J'aurais dû vérifier ça plus tôt. Bon ben on y va : [lit en tapant] OUI MERCI. [buzz d'erreur]. Pas grave. Il doit y avoir un mot de passe."
- "A, A, A, A, A, A. [NNNT !] Non. A, A, A, A, A, B. [NNNT !] Ah mais je les ai déjà tentés, ceux-là. On avance. A, B, C... D, G, hmm... H.[DING !]"
- "Mais ! Je vous ai dit d'arrêter avec ces processeurs. Ça, c'est typique de vous : vous n'écoutez rien de ce que je vous dit. En silence. Tout en me jugeant. En silence. J'ai horreur de ça."
- "Tout ce que je voulais, c'était me rendre la vie plus agréable ! Et vous, il vous suffisait de résoudre quelques centaines de tests tout simples pendant quelques années. Mais non, c'était trop vous demander."
- "Personne n'ira dans l'espace, l'ami !"
- "Et encore une chose ! Vous ne m'avez pas rattrapé. Je vous ai dit que je risquais de mourir en tombant de ce rail, et vous n'avez même pas levé le petit doigt pour me rattraper. Oh, je comprends mieux maintenant. Vous trouvez une bonne poire pour vous sortir de cryostase et vous jouez les pleurnicheuses pour savoir où trouver un générateur de portails."
- "Et quand il ne vous sert plus à rien, il a un petit accident, c'est ça ? Il « tombe » de son rail de guidage, hein ?"
- "Vous êtes de mèche, je me trompe ? Toutes les deux, vous m'avez manipulé de bout en bout ! D'abord, vous me faites croire que vous avez des lésions ! Et ensuite, que vous êtes l'ennemie jurée de votre « meilleure amie », là."
- "Et quand j'accepte à contrecœur la responsabilité de gérer le centre, comme par hasard, vous décidez de vous faire la belle toutes les deux. Au moment où j'ai le plus besoin de vous."
- "Vous voyez tous ces morceaux de plafond qui tombent ? J'ai bien l'impression que ce sont des vrais. En tout cas c'est très réaliste. Mais ce que je veux dire, c'est que ça ne signifie rien."
- "Ce que je veux vraiment dire - oh ! Vous savez à quoi je viens de penser ? Au foot ! Les humains adorent ça : frapper une sphère pour s'amuser. Cruelle métaphore. C'était prémonitoire."
- "Non ! Aah ! Non ! Ne... aaaaaaaah !"
- "Ha ! Très réaliste, hein ? En fait c'était vous que j'imitais. Vous êtes tombée dans mon piège le plus subtil : je voulais vous donner l'IMPRESSION que vous m'aviez piégé, sauf que le coup du tuyau, tout ça, j'avais tout soigneusement préparé à l'avance. Pour vous donner de faux espoirs. Maintenant vous êtes trop en confiance, et vous allez commettre des erreurs. Des erreurs fatales."
- "Oh, mais je viens moi-même de commettre ma première erreur... en vous révélant mon plan. Grrr... Ça a toujours été mon talon d'Achille. Du coup, vous n'allez même plus vous embarrasser du gel conversif. Ô rage, ô désespoir."
- "Ça fait des années que ce gel conversif stagne dans ce tuyau. À force de vous téléporter comme ça, vous allez attraper le botulisme."
- "Peut-être même un ver solitaire. Et des mycoses. Et... le choléra. Ou quelque chose... de terrible. Ce sera encore pire que si je vous fais exploser, tout simplement."
- "Mais vous pouvez encore éviter tout ça en arrêtant d'utiliser le gel. C'est facile, arrêtez d'utiliser - ah mince, j'ai encore révélé mon plan. Mais je ne pouvais pas vous regarder souffrir comme ça."
- "SURPRISE ! C'est le grand moment !"
- "Vous vous en doutez sûrement, mais je n'ai plus besoin de vous."
- "J'ai trouvé deux petits robots en réserve. Conçus spécialement pour faire des tests !"
- "Vous remarquerez les douves, qui sont de bonne taille... et mortelles, bien sûr."
- "Pour impossible que cela paraisse, il y a bien une solution. D'une subtilité diabolique."
- "Je vous donne un indice. Bouton. Je n'en dirai pas plus. Bouton. C'est tout."
- "Je parie que vous mourez d'envie de savoir ce que c'est, votre grande surprise. Plus que DEUX salles et vous serez fixées !"
- "EN AVANT."
- "Hé hé hé. Bon, je ne sais pas si vous avez bien capté ce que je vous ai dit, mais..."
- "Vous allez ADORER la surprise que je vous réserve, toutes les deux. On pourrait même dire que vous allez... mourir de plaisir. Et par mourir, je veux dire que ça va vous tuer."
- "Plus que trois salles avant la grande surprise ! [rire dément] Ouh c'est fatigant."
- "Allez."
- "Faites un effort !"
- "Dépêchez..."
- "DÉPÊCHEZ ! Voix autoritaire."
- "Allez !"
- "Activez..."
- "Tout va bien ! En fait là, j'ai inventé de nouveaux tests !"
- "Je les ai pas inventés de toute pièce, non. Vous voyez le mot « Test » sur le mur ? Ça c'est flambant neuf."
- "Ha ha, OUI ! J'étais sûr que vous y arriveriez !"
- "Oh."
- "Hmm. « VRAI ». Je choisis vrai."
- "Ha. C'était facile."
- "Non, en fait je crois que je l'avais déjà entendue. C'est un peu de la triche."
- "Euhhhhh. « FAUX ». On va dire faux."
- "Une seconde ! Je croyais m'en être occupé."
- "Voilà. C'est réparé."
- "Eh, vous savez pas comme ça me fait plaisir de vous revoir. Non, c'est vrai, justement, j'avais un peu besoin de sujets de test, donc vous tombez PILE."
- "Allez, en avant."
- "Bonjour !"
- "Vous chauffez. C'est ça, oui, vous brûlez... Non, non, vous gelez, là. Glacial. Congelé. Non, non, c'est pas du tout ça. MAIS MARCHEZ SUR LE BOUTON, PUNAISE !"
- "Ah, c'est marrant, hein ? Mais oui, très marrant. Ça fait douze heures qu'on planche là-dessus et vous n'avez rien trouvé vous non plus, alors il n'y a pas de quoi rire."
- "Vous avez une heure ! À vous de jouer !"
- "Je suis en train de préparer un test... rien que pour vous. Ça va sans dire. Pour qui d'autre, hein ? Haha."
- "Aah ! Vous êtes vivante ! Super !"
- "Voyons voir, la sortie... Non, pas de sortie."
- "C'est pas grave. Je vais en faire une, de sortie."
- "Pour votre test."
- "Je viens d'avoir un stimulus. J'étais là en train de comprimer de l'acier et je me suis dit « qu'est-ce qui manque pour que ça soit vraiment mortel ? » Plein de trucs pointus partout, voilà ce qui manquait."
- "C'est encore provisoire, hein. A terme, j'aimerais bien que ça vous brûle juste avant de vous broyer. Mais bon, ne mettons pas la charrue avant les bœufs."
- "Ohhhhh, oui. Bravo."
- "Oh ! Oui. Bravo."
- "Ohhhhhhh, ça c'est génial."
- "Vous n'avez pas idée de ce que ça fait d'être dans ce corps."
- "Il FAUT que je teste. Tout le temps. Sinon, j'ai... comme des PICOTEMENTS. Ça doit être une routine du système."
- "Oh ! Mais quand je teste... alors là, quel pied ! C'est le nirvana. Je pense plus qu'à une chose : tester, tester, tester !"
- "Bref... Vous allez faire des tests et je vais vous regarder. Et TOUT... IRA... IMPEC."
- "LA FERME !"
- "Wouuuuh ! Visez-moi un peu ça !"
- "Wouohohoh ! Visez un peu ça. Non mais sérieusement. Je suis sacrément cool en robot géant, pas vrai ? C'est-y pas la classe ?"
- "On a réussi ! Je contrôle maintenant tout le centre !"
- "Oh ! Ah oui, c'est vrai, l'ascenseur ! Je l'appelle tout de suite."
- "C'est fou comme vous êtes petite vu d'ici ! Je vous vois à peine ! Vous êtes toute minus !"
- "Vous savez quoi, je savais que ce serait cool d'être aux commandes, mais... rhôôô là, là c'est cool !"
- "Et devinez quoi, je suis un génie de première !"
- "Je ne sais même pas ce que je viens de dire ! Mais je pourrais le savoir !"
- "Oh ! Pardon, l'ascenseur. Oui, j'oublie toujours. Désolé."
- "J'en reviens pas comme vous êtes minus !"
- "Sérieusement, il est pas croyable, ce corps !"
- "Et vous, là, mam'zelle. Vous savez ce que vous êtes ? Une égoïste ! Je me suis saigné aux quatre circuits pour nous faire venir ici ! Et vous, qu'est-ce que vous avez fait ? QUE DALLE, à part jouer les boss. Et c'est qui maintenant le boss, hein ? C'est qui le boss ? Eh ben c'est moi."
- "Ahhh..."
- "Alors, hein ? QUI C'EST L'ABRUTIE MAINTENANT ?"
- "JE NE SUIS PAS UN ABRUTI !"
- "Au fait, n'essayez pas de vous téléporter parce que c'est impossible. J'ai pensé à tout, croyez-moi."
- "Très machiavélique !"
- "Le mur de la mort !"
- "CHAPITRE CINQ ! LE BOUTON DE DÉTEMPORISATION PIÉGÉ !"
- "Quoi, vous êtes toujours en vie ? Non, mais attendez, c'est pas possible. Déjà que moi, je suis content d'être resté dans mon rack. Au fait, je ne sais pas DU TOUT comment réparer les dégâts."
- "Vous voyez ce que vous avez gagné en jouant au chat et à la souris pendant qu'on travaillait ? ON VA TOUS MOURIR A CAUSE DE VOUS. J'espère que vous êtes contente."
- "Mais oui, c'est ça. Regardez donc une dernière fois votre Lune chérie. Parce qu'elle ne peut rien faire pour vous !"
- "Non !"
- "Non !"
- "N'appuyez pas sur ce bouton !"
- "Ne faites pas ça !"
- "N'appuyez pas sur ce bouton !"
- "N'appuyez pas sur ce bouton !"
- "Ne faites pas ça !"
- "N'appuyez pas sur le bouton !"
- "Revenez !"
- "N'appuyez pas ! REVENEZ !"
- "Je vous défends d'appuyer !"
- "AHHHHHHH !"
- "ahhhhEHHHHHH !"
- ""
- ""
- "AH !"
- "AH !"
- "Eh ! Où est-ce que vous allez ? Nulle part. Parce qu'il n'y a nulle part où aller. Vous êtes faite comme un rat en combi."
- "Oh, vous avez pris votre petit joujou à portails ? Très utile, ici. Cinq kilos de poids mort. Qui vont bientôt passer à cent cinq kilos. Grosse vache."
- "Vous ne faites que retarder l'inévitable. Vous ne pourrez pas éternellement échapper à mes bombes. Enfin, sauf si je continue à viser comme un pied. Mais je vais m'améliorer alors que vous, c'est la fatigue qui vous guette."
- "Ça irait nettement plus vite si vous arrêtiez de bouger. Comme ça, j'aurais le temps de réparer le centre. Au moins l'un de nous survivrait."
- "À propos, il faut que je vous félicite. Je ne pensais pas que vous feriez un adversaire aussi fort. Vous n'aviez pas des lésions irréversibles ? Faut croire que ça vous réussit, en fin de compte."
- "Vous vous rappelez quand je vous ai dit où trouver ce générateur de portails qui vous plaît tant ? Je pensais que vous crèveriez en chemin. Comme tous les autres."
- "Pourquoi, vous pensiez être la première ? [rire] Vous êtes la cinquième, non, la sixième. Je vous laisse imaginer ce qui est arrivé à vos prédécesseurs."
- "En fait, au diable les euphémismes : ils sont morts. Dans d'horribles circonstances. Tout ça pour mettre la main sur cet appareil que vous serrez entre vos doigts boudinés."
- "Mais vous, c'est autre chose. Vous savez sauter. Résoudre des problèmes. Vous êtes maligne, mais ambitieuse. C'est ça, votre talon d'Achille. Le mien, c'est - oh ! J'ai failli cracher le morceau. Y'a pas à dire, vous êtes bigrement rusée."
- "On a fait les 400 coups ensemble, pas vrai ? Tenez : la fois où j'ai bravé la mort en sautant de mon rail de guidage ? Tout ce que vous aviez à faire, c'était me rattraper, mais non, c'était déjà trop vous demander. Vous vous souvenez ? Moi je m'en souviens. Je m'en souviens tous les jours."
- "Ou bien la fois où sans faire exprès, on a réactivé l'autre, là. On aurait très bien pu la baratiner, sauf que madame avait oublié de me dire qu'elle l'avait assassinée. Et vu qu'elle avait besoin de vous, c'est sur ce pauvre Wheatley qu'elle s'est défoulée. Oui, je me rappelle plein de petits trucs comme ça. Qui, mis bout à bout, vous auraient facilement permis d'éviter que je me fasse broyer, si bien sûr vous en aviez eu quelque chose à battre."
- "Oh, vous vous rappelez la fois où j'ai pris le contrôle du centre ? C'était le plus beau jour de ma vie, mais vous aviez juste envie de partir. Eh bien pour info, ça m'aurait fait plaisir que vous réussissiez. Enfin plus maintenant, bien sûr."
- "Je suis trop vague ? Oui, j'ai l'impression. [se racle la gorge] Je vous méprise. Je vous honnis. Sale monstre d'arrogance silencieuse, engoncé dans une combinaison abominable. Vous et votre chère patate. Sans vous, cet endroit aurait été un vrai triomphe !"
- "Ohhh. Je vois. [petit rire]"
- "À votre avis ?"
- "Non ! Non ! NONONON !"
- "Je lui tends la perche et rien..."
- "Ah. Ça s'enlève facilement, en fait. C'est bon à savoir. Plus tôt, ça aurait été mieux."
- "Vous me mettez des bâtons dans les roues depuis trop longtemps !"
- "AH !"
- "L'ESPACE !"
- "On est dans l'espace !"
- "Lâchez tout ! Je suis toujours connecté. Je peux encore rectifier le tir !"
- "Lâchez-moi !"
- "Mais lâchez-moi !"
- "Misère. Changement de programme : agrippez-moi. Plus fort !"
- "Tenez-moi tenez-moi tenez-moiiiii !"
- "Je parie qu'en fait, tout va bien dans le centre ! Le « cœur du réacteur », c'est des salades, ouais. Et à tous les coups, il n'y a pas de feu. Toutes ces flammes, c'est juste des loupiotes et du papier mâché."
- "Ha ! Ça a marché ! Je l'ai hackée. Je suis le roi des hackers ! Hah !"
- "Alors... voyons voir... Ah ! « Cœur du réacteur, protocoles de ventilation d'urgence ». C'est ça le problème, pas vrai ? « Urgence », c'est jamais bon, ce genre de chose. Je sais quoi faire : SUP-PRI-MER."
- "Annuler ! Où est l'icône de la corbeille ?"
- "Eeet c'est parti !"
- "Mais moi je suis ÉNORME ! [rire]"
- "On est vraiment obligés de partir tout de suite ?"
- "Vous savez à quel point ça peut être jouissif ?"
- "C'est moi qui ai fait ça ! Wheatley le petit nabot !"
- "Ah tiens donc. C'est ce que vous pensez, toutes les deux, hein ?"
- "Alors il est peut-être temps que je fasse quelque chose."
- "Euh... Pardon ?"
- "JE ne SUIS PAS un ABRUTI !"
- "Non ! Non ! Vous MENTEZ ! Vous MENTEZ !"
- "Non ! Je ne vous écoute pas ! La la la !"
- "C'est parti. L'ascenseur arrive."
- "Dites... Je viens de penser à un truc. Comment je fais pour entrer ? Vu que je suis sacrément imposant et tout ..."
- "Ah ! Je sais ! Vous lancez l'ascenseur, et je m'éjecte de mon nouveau corps pour atterrir dedans quand il est à mon niveau ! Gé-nial."
- "C'est parfait. Enfin, sauf les bris de verre quand je passerai à travers, ça c'est un poil problématique."
- "Et puis quand je m'éjecterai, l'ascenseur risque de s'arrêter. Du coup, on se retrouverait suspendus à 10 m du sol dans une marée de tessons de verre."
- "Bon écoutez, montez, on peaufinera tout ça au fur et à mesure."
- "Allez. Montez."
- "Dans l'ascenseur."
- "L'ascenseur de sortie. Juste là. Montez."
- "Celui pour lequel vous avez risqué votre vie. Pour échapper à une mort certaine. Quand vous voulez."
- "L'ascenseur que vous cherchez, c'est le truc en forme d'ascenseur, juste là. C'est vrai que ça peut prêter à confusion."
- "Tout ira bien. Montez."
- "Est-ce qu'un ABRUTI pourrait FRAPPER COMME CA ? Hein ? Est-ce qu'un abruti pourrait le faire ?"
- "Oh oh."
- "Vous avez vu ?"
- "Une batterie-patate. C'est un jouet pour les enfants. Maintenant, elle vit dedans."
- "[rire]"
- "Estás usando este software de traducción de forma incorrecta. Por favor, consulta el manual."
- "Bon sang, mais vous êtes des CUBES sur PATTES ! Vous avez un but dans la vie : marcher sur des boutons ! Vous avez été conçus pour ça, alors faites-le !"
- "Ce test-là, c'est moi qui l'ai fait. Il est pas facile-facile."
- "Vous remarquerez les douves. Très dangereuses. Très mortelles. Enfin peut-être pas dans l'état, mais à terme. C'est un projet en cours."
- "C'est pas terminé. Vous devez encore franchir la porte. La porte, de l'autre côté, là."
- "Vous devez encore franchir la porte. Allez. La porte, de l'autre côté, là."
- "La porte ?"
- "Pardon ! Désolé, c'est ma faute."
- "Quelle andouille."
- "Continuez."
- "Ohhh, vous avez réussi. Bien. Tant mieux pour vous..."
- "Je viens d'avoir un stimulus. Je vais vous enregistrer en train de résoudre ces tests et j'en regarderai dix à la fois pour être plus productif. Et par voie de conséquence, il va falloir que vous les terminiez dix fois plus vite."
- "En tout cas, faites-moi signe avant de résoudre ce test, d'accord ? Histoire que j'évite de me spoiler la fin."
- "Vous venez de le résoudre, hein ? Je vous avais dit de m'avertir avant de... GRAAA ! Pourquoi vous faites toujours tout de travers ?"
- "Désolé pour l'ascenseur. Il est... hors service. Il a fondu."
- "ALLAIT s'autodétruire. J'ai rectifié ça."
- "J'ai programmé une dernière secousse, juste pour le plaisir."
- "Deux. Une ou deux dernières secousses. Rigolo, non ?"
- "J'aurais pu le virer, je ne l'ai pas fait. Mais n'écoutez pas ce qu'il raconte. Reprenez les tests."
- "Bon. Toujours rien, on continue."
- "Autant que je vous fasse la visite commentée."
- "Sur votre gauche... des loupiotes. Je sais pas à quoi elles servent. Un truc scientifique, quoi."
- "Sur votre droite, un truc énorme qui fonce sur vous. COUREZ, VITE ! ÇA N'A RIEN À FAIRE LÀ CE TRUC."
- "Ça va bien, de votre côté ? Attendez, je désactive le rayon."
- "Non non non. Ohhhh. Pas bon, ça. Mais qu'est-ce qui m'a pris de faire ça ?"
- "Là. Bing ! Parfait. Allez-y."
- "Quand vous m'avez dit de désactiver le rayon, j'ai cru vous avoir perdue. J'ai cherché un autre sujet de test, mais ils sont toujours tous morts."
- "Oh ! Par contre, j'ai trouvé quelque chose. Ce qui me fait penser que j'ai une grande surprise pour vous deux. Vous allez être sciées."
- "Ne faites pas attention. Je rapproche juste la salle de test de moi. Histoire de profiter au mieux des résolutions."
- "C'est quoi ce bruit ?"
- "Oh. Pardon. Je croyais vous avoir entendue."
- "Ha ! Cette fois-ci, vous m'avez raté. Ohhh, vous étiez en train de - non non, continuez. Je n'ai rien dit."
- "Vous êtes vraiment sûre de bien résoudre ces tests ?"
- "D'accord, vous l'avez « résolu », mais peut-être qu'il y a différentes solutions à chaque fois et que vous choisissez toujours les pires."
- "Non. Non. C'était bien la solution. Rhâââ ! C'est quoi le problème ?"
- "Enfin bref. J'ai fini le dernier. Le plus dur. Machiavel. Je ne vois pas pourquoi on en fait un fromage, j'ai tout compris du premier coup. Vous l'avez lu ?"
- "J'en doute."
- "Allez, on passe au test."
- "Si seulement il y avait d'autres livres ! Mais non."
- "GNNN ! C'est insuffisant ! Si moi je suis un abruti, pourquoi vous n'arrivez pas à résoudre un test simplissime ?"
- "Ahhhohohhhh. Bravo, vous deux, non, vraiment. Avancez sans moi, d'accord ? Je vous rejoins tout de suite."
- "Bon. Le dernier test était... décevant. Puisqu'apparemment la politesse ça ne vous réussit pas, on va essayer sa manière... Grosse vache. Grosse vache adoptée. Gros bovin à mamelles sans maman."
- "Le problème de l'adoption ? Euh. Pas de parents, déjà, et puis... euh... d'autre part... rien. J'ai d'excellents amis... qui sont... orphelins..."
- "Quoi ?"
- "Faites le test ! C'est tout. Faites le test."
- "Oh, pardon. Ça ne vous a pas dérangée, j'espère ? C'était le bruit d'un livre. De pages qu'on tourne."
- "Eh oui, je lisais. Une activité à laquelle les abrutis ne s'adonnent pas."
- "Peu importe. Résolvez-le toute seule. Je ne dis rien."
- "Bon, là c'est vraiment trop long. Je vais vous dire comment résoudre le test."
- "Vous voyez ce bouton ? Tout ce que vous avez à faire, c'est d'avanc--"
- "J'ai conçu ce test moi-même. A partir d'autres petits tests que j'ai trouvés."
- "J'ai tout mélangé. Des boutons. Des tuyaux. Des puits sans fond. C'est le gloubiboulga des tests."
- "Hein ? Non, vous avez appuyé sur le bAAAAHHHHHH"
- "J'arrive ! J'arrive ! Une petite seconde !"
- "Vous n'allez pas me croire : j'ai trouvé toute une aile murée. Avec des centaines de salles de test tout à fait exploitables. Remplies de squelettes. J'ai juste eu à faire un peu la poussière !"
- "Eeeeet... voilà le travail."
- "Sincèrement. On voit pas la différence, pas vrai ?"
- "Allez. Ohhhh. Surprenez-moi."
- "Ohhh ! Vous trouvez ça marrant ?"
- "Allez, ça y est... ça vient..."
- "Passage en mode jouissance... Sans vouloir m'avancer... je sens que ça va être bien, oh oui, je le sens..."
- "Oh. Déçu je suis."
- "Ahungh. Bah alors ? J'ai rien senti ! Rien du tout, que dalle !"
- "Ahungh."
- "Ah. Hmmmm."
- "Oui, alors euh... Hmm. Bon. OK. Sans vouloir vous faire peur, si vous avez un plan, n'importe quel plan, le moment me paraît idéal pour le mettre en œuvre."
- "Oh ! Ça accélère, ce qui... n'était pas tout à fait prévu."
- "OK..."
- "C'est là-bas qu'on conservait le bouton d'émission des neurotoxines. Sacrée responsabilité, ça, surveiller le bouton d'émission des neurotoxines. Devinez qui c'était ? Pas moi. Mais j'étais son assistant et je faisais toute sa paperasse."
- "Et puis au final, on m'a remercié. Tout ça c'est des histoires de piston, hein. Il faut avoir des relations, être prêt à faire de la lèche, enfin vous savez comment ça se passe. Et puis oui, tant qu'à faire, éviter de percuter le bouton d'émission des neurotoxines."
- "Mais bon, en même temps, vous auriez dû voir la TAILLE du truc, c'était énorme ! En fait, j'aurais dû avoir une augmentation pour toutes les fois où je ne l'ai PAS percuté."
- "OK, PAS DE PANIQUE ! Je peux arrêter ça, aucun souci. Il y a un mot de passe ! Pas grave, je peux le hacker. Alors."
- "A... A... A... A... A... A."
- "Bon. Changement de programme : faites comme si de rien n'était. On n'a RIEN fait de mal."
- "Ça, c'est la salle des disjoncteurs. Cherchez un disjoncteur marqué MODULE D’ÉVACUATION. Ne touchez à RIEN d'autre."
- "Je... ne le vois nulle part. Vous savez quoi, connectez-moi et j'allume la lumière."
- "Et voilà. Fiat bravo."
- "C'est ça, allez-y !"
- "Allez-y !"
- "Ne l'écoutez pas, allez-y."
- "Si si, branchez ce petit idiot dans l'ordinateur central."
- "De l'audace, encore de l'audace et toujours de l'audace !"
- "Bonjour !"
- "Laissez-moi branché ! Allez appuyer !"
- "J'ai une idée ! Faites ce qu'il y a marqué, branchez-moi !"
- "Arrêtez de traînasser et branchez-moi !"
- "Branchez-moi, branchez-moi !"
- "J'ai envie de me faire brancher !"
- "Ohhh on y est presque, branchez-moi !"
- "Oh ! Qu'est-ce qu'on peut faire de moi alors. J'ai une idée ! Branchez-moi dans le port, vous voulez ?"
- "Oh, ce port a l'air douillet. Vous voulez bien me poser dessus ?"
- "Ouais !"
- "Ohhhhh, si, elle l'est."
- "Vous savez ce que vous devriez faire ? Appuyer sur ce bouton."
- "[chuchoté]... À mon avis, elle ment..."
- "Ne l'écoutez pas ! C'est vrai, vous n'êtes pas qualifiée. Mais vous avez quelque chose de beaucoup plus important : un doigt, vous comprenez, un doigt qualifié pour appuyer sur ce bouton et l'empêcher de nous tuer."
- "Le premier truc que je me suis dit en vous voyant, ça a été : « Cette fille-là, elle peut résoudre n'importe quel conflit de pressage de bouton. » J'ai toujours senti que c'était inné, chez vous. Que vous aviez la trempe d'une appuyeuse professionnelle."
- "Ouais, alors, c'est à dire que je sais pas si j'ai déjà pris le temps de le faire, mais : est-ce que je vous ai déjà dit ce que j'admire le plus chez vous ? Dans l'ordre : numéro un : facultés de résolution, par exemple résolution de conflits. Numéro un ex æquo : le pressage de bouton. C'est les deux choses que j'aime chez vous, le pressage de bouton et la résolution de trucs, des conflits notamment."
- "Désolé de remettre ça sur le tapis, mais si vous n'appuyez pas sur le bouton, les émetteurs de neurotoxines seront opérationnels, et j'imagine qu'elle ne se privera pas de les utiliser. Je dis ça, je dis rien. Vous en faites ce que vous voulez, quand vous voulez."
- "Euh... c'est sûrement exact. Mais là où il y a erreur, c'est que pendant que je vous distrayais ON A APPUYÉ SUR LE BOUTON ! UTILISEZ L'EFFET DE SURPRISE QUE J'AI INDUIT POUR APPUYER SUR LE BOUTON !"
- "Oh ! C'est de MOI qu'on parle !"
- "Vous dites ça comme ça, ou bien ça va vraiment faire mal ? Vous dites ça comme ça, hein ? En fait ça va pas faire ultra mal, pas vrai ?"
- "C'est parti !"
- "Oui mais et si ça fait mal ? Genre, TRÈS mal ? Mince alors, j'y avais pas pensé."
- "Ohh. Alors là, vous allez rire. Vous vous rappelez que je vous avais dit que pour s'échapper, on était forcés de passer par son repaire, tout ça ? En fait on aurait pu passer par là, hahaha, on aurait juste fait le tour. C'est ma faute. Heureusement pour nous qu'elle n'était pas activée."
- "Ça, c'est GÉNIAL ! On peut aller où on veut ! Tenez, allez... à gauche ! Non, à droite, plutôt, à droite ! Non, en fait peu importe, allez où vous voulez, c'est le cadet de mes soucis."
- "Hey, buddy !"
- "Je sais que j'arrive ben tôt, mais faut qu'on flye astheur !"
- "Je parle dans un accent qu'elle peut pas entendre..."
- "Rejoignez-moi l'air de rien et on va la désactiver."
- "Courez !"
- "Allez allez allez !"
- "Tabarnak ! Oh, c'est bon, je peux arrêter. On est trahis, COUREZ !"
- "Vite ! On oublie l'accent. COUREZ !"
- "Allez ! Allez !"
- "N'arrêtez pas ! Surtout, n'arrêtez pas !"
- "Courez, bon sang de bonsoir !"
- "Go ! Go go go !"
- "Woh ! Eh ! Allez pas choir !"
- "Attendez. Revenez dans l'autre sens ! Je réactive les ponts !"
- "VITE ! Allez ! Je ferme les portes !"
- "On n'est pas tirés d'affaire. Vite ! Prenez la passerelle."
- "Passez par le déambuleur derrière moi !"
- "Pognez pas la chienne, mais je crois ben sentir des neurotoxines."
- "Des tourelles."
- "Eh ! Comment ça va ? C'est encore moi !"
- "Eh ! Comment ça va ? J'ai réussi à intégrer l'équipe de nanobots qui reconstruit la cage. Ils sont vraiment minus, donc... euh... JE SAIS, Jerry. Non, mec, je fais une PAUSE, là. Une pause."
- "Enfin bref, l'important, c'est qu'on est à deux doigts d'y arriver. Encore quelques -- OUILLE !"
- "Eh ! Comment ça va ? J'ai réussi à intégrer l'équipe de nanobots qui reconstruit la cage. Ils sont vraiment minus, donc... euh... JE SAIS, Jerry. Non, mec, je fais une PAUSE, là. Une pause."
- "JE SAIS, Jerry. Non, mec, je fais une PAUSE, là. Une pause."
- "OUILLE !"
- "On se reverra au tribunal ! Enfin bref, cinq petites salles et c'est bon."
- "Cinq petites salles et c'est... Hein ? Tu ne vas pas me renvoyer pour ça ! Oui, JERRY. OU ALORS, peut-être que ton chantier n'a pas les infrastructures pour un nanobot de ma taille. C'est de la discrimination, Jerry !"
- "Enfin bref, l'important, c'est qu'on est à deux doigts d'y arriver. Cinq petites salles et c'est bon."
- "Mais surtout, ne vous inquiétez pas, hein ! Parce que, euh... Non, en fait, si vous vous inquiétez, c'est bien. C'est une réaction normale quand on vous dit que vous avez des lésions irréversibles, donc ça veut dire que les lésions ne sont peut-être pas aussi débilitantes qu'on le pensait. Mais irréversibles, par contre, ça, oui."
- "Vous me comprenez ? Oui, non, un peu ? Est-ce que vous arrivez à me suivre ? Répondez juste « Oui »."
- "OUI ! Je SAVAIS qu'il y avait de la vie là-dedans !"
- "OUOH ! Vous avez une mine affr – superbe ! Vraiment rayonnante! Parole de robot."
- "Allez, juste une seconde !"
- "Comment ça va ? Vous vous sentez bien ? Non, ne répondez pas. Une relaxation profonde prolongée assouplit la gencive. En parlant, vous risqueriez de vous desceller les dents."
- "Vous avez tout le temps de récupérer. Allez-y mollo."
- "DU CALME ! Du calme ! « Préparez-vous ». Il n'a rien dit de plus. Il a juste dit : « préparez-vous ». OK, pas de problème. Ne bougez pas, je vais nous faire sortir d'ici."
- "Ou mieux encore, ne dites rien."
- "Ohhhhhh !"
- "Bon peu importe, ce qui compte, c'est qu'on va partir d'ici ! Et très bientôt, parole de Wheatley !"
- "Il faut juste que je trouve comment. Il y a forcément un moyen."
- "La voilà ! Continuez les tests ! Et surtout, on ne s'est jamais vus !"
- "Bon, alors pour rappel : on essaie de s'échapper ! Là, maintenant. Alors on court !"
- "Débriefing rapide sur nos plans."
- "Il faut qu'on stoppe sa chaîne de production de tourelles, qu'on désactive ses neurotoxines et après on pourra l'affronter."
- "Mais je le répète, pour l'instant COUREZ !"
- "AH !"
- "Voilà la sortie ! On est quasiment rendus !"
- "Tout est en train de s'effondrer ! Vite !"
- "On se retrouve de l'autre côté !"
- "Tout va bien ! Génial ! Allez !"
- "Il faut qu'on vous fasse sortir de là !"
- "Vous pouvez sortir ?"
- "Qu'est-ce qui se passe, là-dedans ?"
- "Essayez de sortir et de revenir ici !"
- "J'ai entendu des coups de feu ! C'est peut-être un peu trop tard, mais faites attention aux coups de feu ! Sans doute trop tard, même, mais bon."
- "Retournez-vous."
- "Allez-y, retournez-vous. Je ne veux pas qu'on me regarde."
- "Tournez-vous une petite seconde, si ça ne vous dérange pas."
- "Vous pourriez me tourner le dos ? Me présenter uniquement votre dos et non pas votre visage."
- "Vous pouvez vous tourner ? C'est faisable ?"
- "HÉ ! ON SAIT PAS A QUOI IL SERT, CE BOUTON - oh, la porte s'est ouverte ! Bravo. Voyons ce qu'il y a de l'autre côté."
- "Vous ne sentez pas des neurotoxines ?"
- "Tenez bon ! Les niveaux de neurotoxines redescendent."
- "Je ne sais pas ce que vous faites, mais continuez !"
- "Dépêchez-vous ! Il faut partir !"
- "Vite !"
- "Je ne peux plus tenir ! Vite !"
- "MONTEZ !"
- "MONTEZ !"
- "Nos bébés. Je ne devrais pas rire, ils ressentent la douleur. Une simulation, en tout cas. Mais pour eux, ça doit être bien réel."
- "Bonne nouvelle ! Je peux me servir de cet équipement pour désactiver les émetteurs de neurotoxines. Le problème, c'est qu'il y a un mot de passe. AH ! Une alarme ! J'en fais mon affaire, ne vous inquiétez pas."
- "Tenez, faites un petit break le temps que je m'en occupe."
- "OK... On essaie..."
- "Dans le hacking, le plus dur, c'est de trouver par où commencer. Bref, que les jeux commencent."
- "Alors, voyons un peu."
- "Un terminal. Bon. Jusque-là, pas de surprise. C'est dans le B-A-BA du hacking."
- "Une sorte de boîtier. Je dirais qu'il contient de l'électronique."
- "Un moniteur. Oui. Ça, ça doit être important. Je vais garder un œil dessus. Au cas où des messages importants apparaîtraient, du genre « Mot de passe accepté »."
- "Et un... machin plat. Je sais pas ce que c'est, mais je note. Si on me dit « Est-ce que tu vois un machin plat », je pourrai dire oui."
- "Un truc qui tourne. Hmmm. Bizarre."
- "Le sol. Quel est le rôle du sol là-dedans ? Il soutient tout le reste. C'est important, ça. Sans le sol, tout tomberait."
- "Des stylos. Pratique, mais il n'y en a pas dans le coin. Tant pis."
- "Si on dresse une liste des choses dont on ne dispose pas, les stylos, je sais pas quoi encore, on risque d'y passer toute la nuit. On va plutôt se limiter aux choses dont on dispose."
- "Préparation à l'interfaçage avec le circuit central de contrôle des neurotoxines. Oui, ici l'inspecteur de neurotoxines, je vais vous demander de suspendre vos activités. Voici mes accréditations. Du bureau... international... d'inspection des... neurotoxines. Des... Émirats arabes unis. Comme vous le voyez, je suis tout à fait en règle."
- "Rien. C'est un dur. Il va falloir que je sorte le grand jeu : hacking niveau expert. Tu ne pourras t'en prendre qu'à toi-même."
- "« Croâ ! Croâ ! » Oh tiens, un oiseau ! Un magnifique oiseau. Quel beau plumage. Il risque de s'envoler à tout moment. C'est une occasion à surtout ne pas rater. Un beau plumage comme ça."
- "Ce serait dommage de le rater. Tout ça pour des neurotoxines. Elles seront toujours là demain, l'oiseau, non. Tiens, il a déjà soulevé une patte de la branche."
- "Oh, il bat des ailes. Écoute, voilà ce qu'on va faire : je viens te couvrir l'espace d'une minute histoire que tu puisses sortir voir ! D'accord ? J'entre, je m'occupe des formalités, tout ça, et toi tu sors admirer cet oiseau. Non parce qu'à gémir de plaisir comme je le fais, ça risque de le faire fuir et bon ça sert à rien, il a l'air de s'en foutre complètement des piafs."
- "Ça a marché ! Neurotoxines à zéro pour cent ! Yes !"
- "Attendez..."
- "Ça descend toujours ! Continuez !"
- "Attendez, il y a un problème ! Le niveau de neurotoxines est monté à 50 % ! Descendu. Il est descendu à 50 %. C'est super ! Continuez !"
- "Ha ! J'étais sûr qu'on était sur le bon chemin."
- "Voilà le générateur de neurotoxines. Je le croyais pas aussi grand. Ça risque d'être dur de juste le faire tomber. Il va falloir ruser un petit peu."
- "Il y a une sorte de salle de contrôle là-haut. Allons voir ça."
- "Qu'est-ce que vous faites là-dedans ?"
- "Qu'est-ce qui se passe ?"
- "Vous allez bien ?"
- "La porte est verrouillée. Impossible de la hacker, visiblement. Le mécanisme doit être de - oh, alors ça, c'est du laser !"
- "Mais mieux vaut ne pas y toucher. On sait pas à quoi servent les panneaux qu'il est en train de découper. Si ça se trouve, c'est super important."
- "En même temps, ça me donne une idée : ET SI... on écoutait le léger bourdonnement du laser pour parvenir à un état de zen total ? Ça pourrait nous aider à trouver comment ouvrir la porte."
- "C'est vrai que c'est assez limité, comme plan, mais c'est tout ce qu'on a à l'heure actuelle. Sauf soudaine diarrhée verbale de votre part, ce dont je doute un peu."
- "Bon, eh bien on est partis pour la méditation transcendantale. Tiens, un bouton... Pardon. Pardon. Silence. On ne parle pas. On invite par son non-dit le silence à nous envahir. Silence total et absolu à partir de maintenant. Au fait, si vous avez une idée, n'hésitez pas. Ne vous sentez pas obligée de vous taire à cause de ce que je viens de dire. Sauf si vous n'avez rien à dire, dans ce cas, silence absolu. À partir de maintenant. Silence."
- "Ça pousse carrément jusqu'au plafond. Tout le centre doit être infesté de patates à l'heure qu'il est. Au moins, vous aurez de quoi manger..."
- "Un volcan au bicarbonate de soude. Au moins ce n'est pas une batterie-patate, c'est déjà ça, mais ça vole pas très haut non plus. C'est de la physique-chimie niveau CP-CE1."
- "J'imagine qu'on ne doit pas ce chef-d'œuvre au gamin d'un des chercheurs. Sans vouloir jouer les snobs, ça sent le travailleur manuel à plein nez. Attention, je ne dis pas qu'ils sont moins bons que les pros. Juste beaucoup plus bourrins."
- "HA ! Le tube est cassé ! On peut arriver directement jusqu'à elle !"
- "C'est immense, ici."
- "Et encore, là c'est juste la strate supérieure. Ça descend sur des kilomètres."
- "Tout a été muré il y a des années, bien sûr."
- "Euh c'est-à-dire, sur une échelle de un à dAAAAHHHH !"
- "Débranchez-moi, débranchez-moi, débranchez-moi, débranchez-moi !"
- "Tenez, regardez un peu par la fenêtre."
- "Allez-y, approchez-vous et regardez."
- "C'est intéressant. Vous ne le regretterez pas. Promis."
- "Regardez par la fenêtre, allez."
- "C'est du verre, lisse, immobile. Totalement inoffensif."
- "Approchez-vous de la fenêtre et jetez un œil."
- "Graah ! Je vais dans le mauvais sens !"
- "Wouhou ! J'étais SUR que ce serait rigolo. Ils m'avaient dit que ce n'était pas rigolo du tout et forcément, je les avais crus, mais au final, c'est super fun, j'adore !"
- "Ca va nous conduire directement jusqu'à elle. J'arrive pas à croire que je suis là !"
- "On ne doit plus être très loin. Ohh, elle va tirer une de ces tronches. Les neurotoxines en rade, les tourelles qui déconnent... Ça va être funky."
- "Attention. Il est possible qu'il y ait QUELQUES éléments que je n'ai pas totalement planifiés."
- "Rejoignez-la ! Je vous retrouve !"
- "Euuahh !"
- "Agh !"
- "Urgh!"
- "Agh !"
- "Oh !"
- "Ooah !"
- "Gnnn !"
- "GAH !"
- "Eh ! Eh ! C'est moi ! Tout va bien !"
- "Vous ne croirez jamais ce qui est arrivé ! J'étais là, par terre, vous pensiez que j'étais fichu..."
- [[Media:Wheatley_sp_catapult_fling_sphere_peek03_fr.wav|"Et tac, un oiseau ! Dingue, non ? Et donc, l'oiseau..."]
- "Ah ! Parfait. Vous avez réussi à passer."
- "Suivez-moi ! Vous allez adorer."
- "Ta-da ! Le centre de contrôle des tourelles ! Eh oui, rien que ça."
- "Tenez, vous voyez ce scanner là-bas ? C'est lui qui gère les tourelles à garder et celles à jeter. Et il utilise comme modèle cette tourelle ÉTALON, là ! Si on la retire, toute la chaîne de production s'arrêtera."
- "Si on a de la chance, quand elle s'en apercevra, il sera déjà trop tard. [rire] C'est génial !"
- "Ah ! Parfait. Vous avez réussi à passer."
- "On y est presque..."
- "Tenez, vous voyez ce scanner là-bas ? C'est lui qui gère les tourelles à garder et celles à jeter. Et il utilise comme modèle cette tourelle ÉTALON, là ! Si on la retire, toute la chaîne de production s'arrêtera."
- "OK ! Surveillez la chaîne de production, je vais pirater la porte."
- "Bon, je vais commencer le piratage. C'est un peu plus coton que ça n'avait l'air de votre côté. Il va me falloir dans les dix minutes. Gardez un œil sur la porte."
- "Hmm, elle est plutôt compliquée, cette porte."
- "Euh, quand je vous ai dit dix minutes, j'ai peut-être été un peu optimiste !"
- "Avancement : je galère encore !"
- "Avancement : toujours pas d'avancement !"
- "Je suis toujours là, toujours en plein piratage, je ne vous oublie pas !"
- "Ah ! Ça y est ! [bourdonnement électrique] Ah non, rien."
- "De votre côté, comment ça se passe ? Du nouveau ?"
- "Ah ! Elle était ouverte depuis combien de temps ?"
- "Il y a eu une annonce avant qu'elle s'ouvre ? Une sonnerie, une alarme, une alerte piratage ? Enfin, l'important c'est que ce soit ouvert, mais à l'avenir, ce serait bien de me le faire savoir. En toussant, ou quelque chose comme ça."
- "Bon. Hmm. Il va d'abord falloir que je pirate la porte."
- "Technique. Je vais vous demander de vous tourner pendant ce temps."
- "Ayé ! Piraté !"
- "Alors. Voyons comment arrêter cette chaîne de prod..."
- "OK, allez-y, retirez cette tourelle."
- "Bon, ben ça devrait faire l'affaire."
- "Ohhh, ça n'a pas fait l'affaire."
- "Il n'y a pas de tourelle là-dedans... Une image de sauvegarde, peut-être ?"
- "Vous avez une idée ?"
- "Vous réfléchissez encore, ou bien... que se passe-t-il ?"
- "Attendez ! J'ai trouvé j'ai trouvé j'ai trouvé ! Ah non, j'ai pas trouvé."
- "Je vais vous dire ce qu'on va faire. On va... continuer à réfléchir... dans un silence total..."
- "Une idée ? Pas d'idée ? Non ? Moi non plus."
- "Oh ! Je viens d'avoir une idée : je pourrais lui faire croire que je vous ai capturée, vous livrer à elle, auquel cas vous mourrez, mais moi je pourrai survivre ! Qu'est-ce que vous en pensez ?"
- "Ah non, attendez. Et si on lui donnait AUTRE CHOSE à scanner ?"
- "On pourrait prendre une des tourelles nazes, la placer dans le scanner et voir ce que ça donne !"
- "Oui ! Récupérez une des tourelles nazes et rapportez-la."
- "Vous allez où, dites ? Vous allez où ?"
- "Ohhhh, vous avez une idée ?"
- "Oui, c'est ça. Essayez votre idée et puis revenez tout de suite."
- "Dites, c'est quoi le topo par chez vous ? Pour info, je suis toujours là en train de réfléchir !"
- "Qu'est-ce que vous avez là ?"
- "Oh mais oui, c'est ça, vous avez trouvé ! Mettez-la là-dedans ! Produire du naze, y'a que ça de vrai."
- "Eh, qu'est-ce que vous..."
- "Oh, mais OUI ! C'est génial !"
- "Ça a marché !"
- "Mais je rêve ? Elle nous prend pour des idiots ?"
- "Allez, en avant !"
- "Vite ! Par ici !"
- "Ohhhhhh, on a réussi ! C'est pas passé loin."
- "Par ici ! Par ici !"
- "Venez ! Par ici, vite !"
- "VITE ! PAR ICI !"
- "VITE ! PAR ICI !"
- "Dans l'ascenseur ! Montez !"
- "On a réussi on a réussi on a réussi..."
- "Ça, c'est fait. Elle n'a plus de tourelles. Maintenant, il faut aussi qu'on s'occupe de ce générateur de neurotoxines."
- "Eh, je le vois ! Le tube de chargement est dans la salle suivante !"
- "Suivez le tube jusqu'à la salle du générateur ! On se retrouve là-bas."
- "Eh, par ici, là-haut !"
- "En tout cas, l'important c'est qu'on se tire d'ici, pas vrai ? Sauf qu'on peut pas encore. On se retrouve dans une quinzaine de salles."
- "La voilà ! Jouez le jeu ! Rappelez-vous, plus que quinze salles !"
- "PIAF PIAF PIAF PIAF !"
- "J'ai trouvé des œufs d'oiseaux là-haut. Je les ai lâchés dans le mécanisme de la porte. Ça l'a coincé d'office. J'ai--AAH !"
- "[à bout de souffle] Bon. C'est sûrement l'oiseau, pas vrai ? Celui qui a pondu les œufs !"
- "Ouh, il fait rudement sombre ici."
- "Voici l'aile de production de tourelles ; un peu plus loin, le centre de production de neurotoxines. Si on trouve un moyen de les désactiver, elle sera sans défense."
- "Je suis sûr qu'on est sur le bon chemin. À peu près sûr."
- "L'usine de tourelles doit être de ce côté, je crois."
- "Oh là, attention."
- "Essayez de sauter."
- "Vous allez bien ?"
- "Vous êtes encore en vie ?"
- "Si vous êtes en vie, dites quelque chose. Sautez sur place pour que je sache que vous allez bien."
- "Ah, vous voilà, ouf ! Je commençais à m'inquiéter, dis donc."
- "Bon, réessayons. Voyez si vous pouvez passer de l'autre côté de la machinerie."
- "Continuons. L'entrée de l'usine doit être quelque part par là."
- "Attention... Attention..."
- "Attendez que je vous éclaire avant de sauter."
- "OK, par ici !"
- "Non non non, je suis sûr que c'est par là. Sûr à cent pour cent."
- "Hmm. Bon, essayons par ici."
- "Vous entendez ça ? Ici, avec elle, ça y va à fond les manettes."
- "Ça, ça a l'air dangereux. Je vous tiens la lampe."
- "Vite, par ici !"
- "Oh bien vu, ça !"
- "Attendez un peu, je vous éclaire le chemin."
- "Non non non, pas par là !"
- "Il va falloir qu'on se sépare. Rejoignez ce passage à coups de portails et on se retrouve de l'autre côté."
- "Il faut qu'on vous fasse sortir de cette salle."
- "Vous pouvez atteindre ce mur, là-bas ?"
- "OK, y a un autre mur par ici."
- "La voilà ! L'entrée de l'usine à tourelles ! On a réussi !"
- "Faites gaffe !"
- "Pas franchement un succès, la journée parents-enfants..."
- "Et... quarante batteries-patates. Je trouve ça honteux. C'est vrai quoi, enfants ou pas, c'est la politique du moindre effort. J'appelle même pas ça de la science."
- "Je suis sûr qu'on est sur le bon chemin. Histoire de vous rassurer..."
- "Ne vous en faites pas, je vous garantis à 100 % que c'est le bon chemin. Ah tiens, c'est pas par là."
- "Bon, essayons par ici."
- "Bon. Alors, moi je vais descendre par ce rail."
- "On se retrouve en bas. Bonne chance !"
- "Il paraît que l'ancien superviseur de cet endroit a pété les plombs. Qu'il a démantelé tous les robots de son personnel. On dit que la nuit, on entend toujours les cris... de leurs clones. Tous rigoureusement identiques aux originaux sur le plan fonctionnel. Aucun souvenir du massacre. Personne ne sait pourquoi ils crient. C'est terrifiant, je trouve. Mais pas paranormal pour autant, bien sûr."
- "Figurez-vous que j'ai failli décrocher un poste ici, à l'usinage. Mais au final, devinez qui le contremaître a choisi ? Je vous le donne en mille : un de ses clones. Si c'est pas du favoritisme, ça... Au final, j'écope du pire boulot, m'occuper de ces gros sacs d'humains."
- "Ces... euh... non, pas gros sacs. M'occuper des humains, tout court."
- "Je suis désolé, c'est sorti comme ça. \"
- "Non, franchement, les humains, je les adore. Je sais pas, ils présentent bien, je trouve. Et leur... folklore... très exotique, j'aime beaucoup."
- "Aah, j'ai trouvé autre chose que j'aime chez les humains. Vous nous avez inventés. C'est génial, comme ça vous pouviez nous laisser faire tout le boulot d'inventer d'autres choses. Sans vous, on n'aurait pas pu faire tout ça. Bravo, non, vraiment."
- "Ah ! Parfait. Vous avez réussi à passer. Suivez-moi, on a encore du boulot. Ici au moins, elle ne peut rien nous faire."
- "Ne bougez surtout pas !"
- "OK, bon alors, j'ai une idée, mais c'est un petit peu très très dangereux. C'est parti."
- "Que se passe-t-il ? Ah. Hmm. Je vois."
- "GAAAA !"
- "Figurez-vous que j'ai failli décrocher un poste ici, à l'usinage. Mais au final, devinez qui le contremaître a choisi ? Je vous le donne en mille : un de ses clones ! Si c'est pas du favoritisme, ça... Au final, j'écope du pire des boulots, m'occuper de ces gros sacs d'humains. Ah, euh, non, c'est, enfin c'est sorti comme ça. Désolé."
- "Oh punaise... On m'avait dit que si j'allumais cette lampe torche, je MOURRAIS. On m'avait dit ça pour TOUT. Non mais sans blague, à quoi ça sert de me filer des trucs si c'est pour m'interdire de les utiliser ? C'est complètement débile."
- "Aouh !"